POINTS CLÉS À CONSIDÉRER –
Déménager du Canada aux États-Unis ou dans un autre pays à la recherche d'opportunités constitue une transition de vie majeure. Cependant, il est important d’être conscient des implications fiscales complexes qui en découlent. Ces considérations fiscales nécessitent une analyse et une planification réfléchies.
Dans cet article, nous explorerons les implications fiscales pour les Canadiens qui partent aux États-Unis. Nous aborderons des sujets importants tels que la résidence fiscale, la gestion des comptes et des propriétés de placement au Canada, des actifs et des investissements, ainsi que les obligations nécessaires avant le départ. Explorez les principales considérations fiscales canadiennes lors d’un déménagement aux États-Unis pour assurer une transition en douceur.
CONSÉQUENCES FISCALES DU DÉPART DU CANADA
La résidence fiscale : un déterminant clé
Votre statut de résidence fiscale déterminera la manière dont les lois fiscales canadiennes s'appliquent à votre situation particulière. À votre départ du Canada, votre statut de résident peut subir des changements qui pourraient affecter vos obligations fiscales. Il est impératif de déterminer votre statut de résidence fiscale avant votre départ et de planifier votre séjour en conséquence..
En général, les particuliers sont considérés comme des résidents du Canada aux fins de l'impôt s'ils ont des liens résidentiels primaires et secondaires importants avec le pays, notamment une maison, une famille ou des intérêts économiques.
Ils cessent d'être considérés comme des résidents canadiens aux fins de l'impôt lorsqu'ils rompent leurs liens de résidence avec le Canada et renoncent à de nombreux avantages d'y vivre à leur départ du Canada. Par conséquent, ils sont considérés comme des non-résidents du Canada aux fins fiscales.
La résidence est une question de fait et, dans certains cas, une certaine incertitude surgit quant à savoir si et quand une personne a cessé de résider au Canada. L'ARC considère généralement qu'un particulier cesse de résider au Canada à la date à laquelle il rompt tous ses liens de résidence avec le Canada, ce qui, dans le cas Le point de vue de l'ARC coïncide généralement avec la dernière des dates auxquelles :
- la personne quitte le Canada;
- le conjoint et/ou les personnes à charge du particulier quittent le Canada ; ou
- l'individu devient résident du pays dans lequel il immigre.
Une personne peut envisager de demander une détermination de son statut de résident à l'ARC lorsqu'elle quitte le Canada en remplissant Formulaire NR73. Cependant, cela n’est généralement pas nécessaire et, sauf circonstances exceptionnelles, la plupart des praticiens découragent généralement de demander une telle détermination.
Imposition du revenu au départ du Canada
Un particulier qui est un résident du Canada aux fins de l'impôt est redevable de l'impôt sur le revenu canadien sur son revenu mondial conformément à l'ITA du Canada.
L'année de son départ, un particulier sera imposé en tant que résident du Canada sur son revenu mondial gagné jusqu'à la date à laquelle il cessera de résider au Canada. Par la suite, ils seront imposés en tant que non-résident du Canada sur les revenus gagnés après la date de départ provenant spécifiquement de sources canadiennes.
Disposition réputée et impôt de départ
Au Canada, une taxe de départ est imposée aux disposition réputée de certains biens par les résidents à la date de leur départ du Canada.
Les particuliers sont réputés disposer de leurs actifs (sauf certaines exceptions) à la juste valeur marchande (JVM) à la date à laquelle ils cessent d'être résidents du Canada aux fins de l'impôt. Cinquante pour cent de tout gain net résultant de la disposition réputée est inclus comme revenu et assujetti à l'impôt aux taux marginaux réguliers.
Cela garantit que le Canada perçoit effectivement des impôts sur la partie du gain accumulé pendant que le particulier résidait au Canada aux fins de l'impôt.
Placements et retraites
Comptes de placement non enregistrés
Règles de disposition réputée s’applique aux comptes de placement non enregistrés et génère un gain ou une perte en capital à la suite de la disposition réputée de placements à la juste valeur marchande (JVM) à la date de départ.
Les revenus de placement après l'émigration seront soumis à une retenue d'impôt au Canada en fonction du pays de résidence aux fins de l'impôt.
Si une personne déménage aux États-Unis, elle peut bénéficier d'une augmentation de la base de ses investissements aux fins de l'impôt américain en déposant un choix décrit dans paragraphe 7 de l'article XIII de la Convention fiscale entre le Canada et les États-Unis (1980). Selon ce traité, les personnes qui ont déménagé aux États-Unis seront soumises à :
- Prélèvement à la source 5%/15% sur les revenus de dividendes des sociétés privées et publiques
- 0% Retenue à la source sur les revenus d'intérêts
- Les gains ou les pertes en capital seront reversés aux États-Unis par le traité à condition qu'au moins l'impôt 10% soit payé sur eux aux États-Unis.
Options d'achat d'actions pour les employés canadiens
canadien options d'achat d'actions pour les salariés obtenus grâce aux services d'emploi au Canada sont classés comme des droits ou intérêts exclus et ne sont pas assujettis à une disposition réputée au moment de l'émigration.
Une fois exercées, les options d'achat d'actions généreront un avantage imposable lié aux options d'achat d'actions au Canada. Ce sera le cas même après l'émigration, puisque les options d'achat d'actions ont été accordées en guise de rémunération pour les fonctions exercées au Canada.
Pour déclarer cet avantage imposable lié à une option d’achat d’actions, un particulier doit produire une déclaration T1 et peut être admissible à une déduction au titre d’une option d’achat d’actions si les critères spécifiés sont remplis.
Actions d'une SPCC
Lors de leur émigration du Canada, les particuliers sont assujettis à une disposition réputée des actions de sociétés privées sous contrôle canadien (« SPCC ») qu'ils possèdent à la juste valeur marchande (JVM).
Si les actions sont considérées comme des actions d'un société de petite entreprise qualifiée (QSBC) au moment de l'émigration, les particuliers peuvent profiter de l'exonération cumulative des gains en capital (ECGC) pour compenser le gain réalisé sur la disposition réputée.
Toute plus-value imposable restante sera soumise à l'impôt sur la déclaration d'émigration. Un particulier a la possibilité de reporter le paiement de l'impôt en soumettant le formulaire T1244. Néanmoins, si le montant de la taxe dépasse $16 500, l'ARC exigera une garantie appropriée pour couvrir l'impôt à payer.
L'exercice financier de la société sera réputé se terminer à la date de son départ du Canada et son statut de SPCC cesse d'exister.
Les dividendes versés par la société à des non-résidents du Canada sont assujettis à une retenue d'impôt 25% en vertu de la partie XIII, qui peut être réduite d'un taux conventionnel applicable. Si le contribuable détient plus de 10% d'actions et est un résident des États-Unis, le taux peut être réduit à 5% conformément à la convention fiscale entre le Canada et les États-Unis.
CELI
Comptes d'épargne libre d'impôt (CELI) sont classés comme droits ou intérêts exclus et ne font pas l’objet d’une disposition réputée lors de l’émigration.
Un particulier a la possibilité de conserver le CELI même s’il devient non-résident du Canada. Cependant, il est important de noter que les revenus de placement gagnés dans un CELI peuvent ne pas rester exonérés d'impôt (par exemple, lors d'un déménagement aux États-Unis) après avoir émigré du Canada.
En tant que non-résident du Canada, les particuliers n’accumuleront plus de droits de cotisation supplémentaires à un CELI. Les cotisations versées à un CELI alors que vous êtes non-résident sont assujetties à un pénalité de 1% pour chaque mois où la cotisation reste sur le compte.
L’approche optimale consiste à reconnaître tous les gains accumulés sur les placements détenus dans le CELI et à retirer le produit en franchise d’impôt pendant que vous résidez au Canada. Cela empêche le transfert potentiel des gains accumulés sur les investissements vers le nouveau pays de résidence, comme les États-Unis.
Il existe un risque potentiel que l'Internal Revenue Service (IRS) des États-Unis considère le CELI comme une fiducie étrangère, ce qui pourrait nécessiter le dépôt des formulaires 3520/3520A.
REEE
Comptes enregistrés d'épargne-études (REEE) sont classés comme droits ou intérêts exclus et ne font pas l’objet d’une disposition réputée lors de l’émigration.
Une personne a la possibilité de conserver le REEE même si elle devient non-résidente du Canada. Cependant, il est important de noter que les revenus de placement gagnés dans un REEE peuvent ne pas rester exonérés d'impôt (par exemple, lors d'un déménagement aux États-Unis) après avoir émigré du Canada.
En tant que non-résident du Canada, les particuliers ne seront plus autorisés à cotiser à un REEE. Les cotisations versées à un REEE alors que vous êtes non-résident sont assujetties à une pénalité de 1% pour chaque mois où la cotisation reste dans le compte.
Les retraits d'un REEE après l'émigration sont assujettis à un taux de retenue d'impôt canadien de 25%.
REER
Régime enregistré d'épargne-retraite (REER) qui détiennent un intérêt dans un régime enregistré ne sont pas assujettis à une disposition réputée au moment de l'émigration.
Un particulier a la possibilité de conserver son REER même s’il devient non-résident du Canada, mais n’accumulera plus de droits de cotisation à un REER.
Si les particuliers disposent d’un montant important de droits de cotisation à un REER, ils peuvent l’utiliser pour cotiser, sous réserve des limites normales pour l’année d’émigration, ce qui pourrait potentiellement réduire l’impôt de départ.
Si une personne déménage aux États-Unis, elle peut profiter des élections décrites dans paragraphe 7 des articles XVIII du Traité Canada-États-Unis. Ce choix permet à leurs régimes enregistrés d'épargne-retraite (REER) de continuer à gagner un revenu en franchise d'impôt pendant qu'ils résident aux États-Unis. Toutefois, ce choix entraînera des retraits imposables lorsque vous deviendrez un résident des États-Unis, et l'impôt américain correspondant pourra être atténué en réclamant un crédit pour impôt étranger pour les impôts canadiens payés.
En l'absence de choix, les revenus de placement générés dans les REER seront assujettis à l'impôt sur la base actuelle pendant que vous résidez aux États-Unis.
Les gains accumulés sur les investissements détenus dans les REER seront imposables aux États-Unis à moins qu'ils ne soient réalisés au Canada avant l'émigration. Une partie des cotisations et des revenus de placement réalisés dans les REER sera considérée comme un remboursement de capital aux fins de l'impôt américain lors du retrait pendant que vous résidez aux États-Unis.
Les retraits de REER après l'émigration seront assujettis à une retenue d'impôt canadienne de 25%. Cependant, cet impôt peut être réduit à 15% s'il est structuré comme une distribution admissible en tant que paiement de pension périodique en vertu d'une convention fiscale, telle que paragraphe 2 Article XVIII(2) de la convention fiscale entre le Canada et les États-Unis. La définition d’un paiement périodique de pension se trouve dans la Loi d’interprétation des conventions fiscales.
RAP
Si un particulier a retiré des fonds de son REER dans le cadre du Régime d'accession à la propriété (RAP), le solde restant dû devient exigible à la première des deux dates suivantes :
- Avant la date de production d’une déclaration de revenus pour l’année au cours de laquelle ils deviennent non-résidents ;
- 60 jours après le départ du Canada.
Les particuliers ont la possibilité de rembourser leur solde RAP en cotisant à un REER avant leur départ du Canada. À défaut de quoi, le solde du RAP sera inclus dans leur revenu imposable l’année du départ.
RPC et SV au Canada
Régime de pensions du Canada (RPC) et Sécurité de la vieillesse (SV) sont classés comme droits ou intérêts exclus et ne font pas l’objet d’une disposition réputée lors de l’émigration.
Si une personne est admissible aux prestations du RPC ou de la SV, ces prestations peuvent toujours être disponibles même s'ils quittent le Canada. Toutefois, une retenue à la source peut être applicable à ces avantages en fonction du pays de résidence fiscale. Il est important d'informer Service Canada de tout changement dans votre statut.
Les personnes qui ont déménagé aux États-Unis sont exonérées de retenue à la source, comme Le RPC et la SV ne sont imposés qu'aux États-Unis (pays de résidence aux fins fiscales) selon la Convention fiscale Canada-États-Unis (1980).
RPPs
Régime de pension agréé (RPA) qui détiennent un intérêt dans un régime enregistré ne sont pas assujettis à une disposition réputée au moment de l'émigration. Si une personne est admissible aux prestations du RPA, ces prestations peuvent toujours être disponibles même si elle quitte le Canada.
Les personnes qui ont déménagé aux États-Unis seront assujetties à une retenue d'impôt 15% sur les retraits d'un RPA, conformément à la Convention fiscale entre le Canada et les États-Unis (1980).
Real Property Located in Canada
Règle de disposition réputée ne s’applique pas aux biens immobiliers situés au Canada.
Un particulier a la possibilité de demander une exemption pour résidence principale lors de la vente de sa maison canadienne même après avoir quitté le Canada. Le montant de l'exonération est limité aux années pendant lesquelles ils ont résidé au Canada, une année supplémentaire étant incluse. Essentiellement, la règle « plus un » permet de compenser le gain accumulé au cours de l’année suivant l’émigration grâce à l’exonération pour résidence principale.
Si la vente a lieu après l'émigration, ils devront soumettre un formulaire T2062 demander un certificat de conformité conformément à la Loi et également produire une déclaration T1 pour l'année de la disposition.
Les particuliers peuvent choisir de déclarer leur choix de disposer de biens immobiliers et de biens commerciaux qui ne feraient pas autrement l'objet d'une disposition réputée en remplissant le formulaire. T2061A.
Les personnes qui ont l'intention de louer leur résidence principale après avoir quitté le Canada peuvent demander un exemption pour résidence principale en remplissant le formulaire T2091 sur leur déclaration de revenus d'émigration.
Lorsqu'ils émigrent du Canada, les particuliers seront assujettis à l'impôt des non-résidents au Canada sur les revenus de location générés par une propriété canadienne après la date de départ. Un impôt des non-résidents 25% sur les revenus de location bruts sera retenu mensuellement par un agent et remis à l'ARC. L'agent est responsable de la préparation et du dépôt Formulaire NR4. En plus, Formulaire NR6 peuvent être déposés pour retenir l’impôt des non-résidents sur les revenus locatifs nets au lieu des revenus locatifs bruts, offrant ainsi une approche plus nuancée.
Exigences de soumission
Déclaration de revenus T1 canadienne pour l'émigration (date de sortie)
Un particulier qui quitte le Canada doit soumettre la déclaration de revenus T1 finale (date de départ) et déclarer le date de départ du Canada, ainsi que leurs revenus mondiaux, sur leur dernière déclaration de revenus partielle de résident canadien couvrant la période du 1er janvier à la date de départ. Les individus sont tenus de poster leur déclaration d'émigration T1 papier à l'ARC.
La date d’échéance pour produire la date de déclaration de sortie T1 est 30 avrilème de l'année suivante ou le 15 juinème de l'année suivante pour les travailleurs indépendants.
Formulaires clés qui peuvent être requis l'année d'émigration du Canada :
T1161 – Il s’agit d’un formulaire de divulgation qui fournit une liste complète des propriétés appartenant à l’émigrant au moment de son départ du Canada. Il est obligatoire pour les émigrants qui possédaient des biens déclarables d'une valeur supérieure à $25,000.
- Ce formulaire comprend les actifs qui ne font pas l'objet d'une disposition réputée, comme les biens immobiliers canadiens, mais il est important de noter qu'il ne s'agit pas d'une liste exhaustive. Certaines exclusions s'appliquent, comme les espèces, les REER, les FERR, les CELI et les biens personnels évalués à moins de $10 000. Ces exclusions sont clairement indiquées en haut du formulaire.
- Le défaut de produire le formulaire T1161 à la date d'échéance entraîne une pénalité de $25 pour chaque jour de retard, avec une pénalité minimale de $100 et une pénalité maximale de $2 500.
T1243 – Ce formulaire est utilisé pour répertorier les propriétés faisant l’objet d’une disposition réputée et calculer l’inclusion dans le revenu qui en résulte. Les montants inscrits sur ce formulaire sont ensuite transférés à l'annexe 3 pour être inclus dans le revenu.
T1244 – Ce formulaire permet aux émigrants de choisir de reporter le paiement de l’impôt sur le revenu provenant de la disposition réputée de biens.
T2061A – Ce formulaire permet à l’émigrant de choisir de disposer de biens immobiliers et de biens commerciaux qui ne seraient autrement pas soumis à une disposition réputée.
Déclaration de revenus canadienne T1159 pour le choix prévu à l'article 216
Un non-résident a la possibilité de élire en vertu de l’article 216 produire une déclaration de revenus canadienne pour déclarer les revenus de location provenant de biens immobiliers au cours de l'année. Cette déclaration est distincte de toute autre déclaration requise et permet au non-résident de payer des impôts sur les revenus locatifs nets gagnés, plutôt que sur les revenus locatifs bruts perçus. De plus, si le montant des impôts retenus au cours de l'année dépasse le montant calculé selon l'article 216, l'excédent sera remboursé au non-résident.
Date limite de dépôt du La déclaration en vertu de l'article 216 a lieu le 30 juin de l'année suivante., pourvu que le formulaire NR6 produit par le particulier non-résident soit approuvé par l'ARC.
Il est néanmoins possible de déposer retour tardif de l'article 216 si les conditions décrites dans la politique de l’ARC sur la production tardive sont respectées. Dans de tels cas, l’ARC accorde aux particuliers non-résidents la possibilité de rectifier les retenues et les déclarations incomplètes. Il est important de noter que les déclarations tardives au titre de l’article 216 doivent toujours être produites dans les deux ans suivant la fin de l’année fiscale.
Déclaration de revenus canadienne T4145 pour le choix prévu à l'article 217
En tant que non-résident du Canada, un particulier a la possibilité de faire un choix en vertu de l’article 217 de la Loi, pour produire une déclaration de revenus canadienne et déclarer les revenus appelés « prestations canadiennes » reçus au cours de l’année. Ces revenus comprennent :
- Paiements des REER
- Paiements provenant d'un FERR
- Prestations du Régime de pensions du Canada (RPC) et de la Sécurité de la vieillesse (SV)
Chaque particulier a la possibilité de produire une déclaration T1, déclarant les prestations canadiennes qui seront assujetties à des taux d'imposition progressifs. Des crédits d'impôt non remboursables peuvent être demandés en fonction de la valeur proportionnelle des prestations canadiennes par rapport au revenu mondial.
De manière générale, cette déclaration facultative est avantageuse lorsque le taux d'imposition effectif est inférieur à la retenue d'impôt canadienne (25% ou 15%), car elle permet un remboursement partiel de la retenue d'impôt canadienne payée au cours de l'année.
Date limite de dépôt du La déclaration en vertu de l'article 217 est le 30 juin de l'année suivante.. Si vous ne produisez pas la déclaration à temps, l’Agence du revenu du Canada pourrait ne pas traiter le remboursement.
Il est recommandé aux personnes qui quittent le Canada vers les États-Unis de consulter avec un fiscaliste qui connaît bien les lois fiscales du Canada et des États-Unis, notamment la convention fiscale entre les États-Unis et le Canada pour garantir que toutes les exigences de déclaration sont respectées et pour profiter de toutes les opportunités de planification fiscale disponibles.
Ahmed Al-Khatib est un CPA qualifié, M.Tax (États-Unis), un directeur principal associé – Services de fiscalité des entreprises chez Deloitte, qui aide les personnes quittant ou entrant au Canada avec leur déclaration de revenus transfrontalière entre les États-Unis et le Canada, y compris les déclarations de renseignements étrangères.
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